L’ingénieur en aérospatiale s’occupe de la conception, du prototypage, de la fabrication, de l’évaluation et de la maintenance de tous les engins propulsés dans l’espace : systèmes de communication, satellites (météorologiques, scientifiques ou militaires), sondes spatiales, véhicules, fusées, lanceurs, navettes, etc. Il peut également travailler sur les systèmes au sol, le matériel embarqué (charge utile) ou les composantes de structures de la Station spatiale internationale. De manière concrète, ses réalisations s’appliquent à l’observation de la Terre, aux télécommunications, au positionnement et à la navigation, à la météo, à l’exploration de l’Univers ou aux expériences en micropesanteur.

L’ingénieur en aérospatiale est amené à élaborer et à diriger des simulations informatiques, en ayant recours à des modèles mathématiques avancés. Cela lui permet, par exemple, de soumettre théoriquement des matériaux ou composants à différentes contraintes pour vérifier qu’ils résistent aux pressions et aux conditions d’un décollage ou d’une mise en orbite. Il s’assure que les pièces répondent aux normes et aux exigences de qualité, de dureté et de durabilité. Elles doivent résister aux températures, aux vibrations, à la pression et à la corrosion, tout en étant facilement démontables pour la maintenance et le remplacement.Contenu en cours de rédaction.

Ils sont de plus en plus nombreux à arborer cette double casquette d'ingénieur et d'architecte.
Il est sans doute plus épanouissant de maîtriser tous les aspects d'un projet.

L'ingénieur architecte est un artiste qui a les pieds ancrés dans le béton!
Il dessine, conçoit, imagine puis réalise, construit lui-même.
Du moins, possède-t-il le bagage intellectuel pour le faire.

Dans la réalisation de bâtiments (logements, commerces, industries, infrastructures collectives,…), d'ouvrages d'art (ponts, tunnels,…), il donne la pleine mesure de son talent.
Il intervient directement dans le tissu urbain ou rural. Il participe à l'aménagement du territoire. Mais il peut aussi s'exprimer comme expert ou comme conseil.

Enfin, il peut devenir fonctionnaire et intégrer les services d'urbanisme au plus haut niveau.

L’ingénieur en biomédical est le spécialiste des technologies liées aux traitement et diagnostic de tous types de maladies et de blessures. Au travers de ces compétences transversales en sciences de la vie, physique et mathématiques, l’ingénieur en biomédical est amené à évoluer au sein de nombreux domaines d’activités stimulant et enrichissant :

• Effectuer des recherches en neurologie, orientées vers les troubles psychiques.

• Développer des tissus et approcher la maladie au niveau microscopique grâce à l’ingénierie cellulaire ou génétique.

• Améliorer la conception des équipements médicaux.

• Développer des biomatériaux, utiliser la biomécanique et concevoir des appareils destinés à soigner des patients (stimulateur cardiaque, reins artificiels, etc.).

• Bien d’autres challenges attendent l’ingénieur en biomédical.  

La chimie, la pétrochimie, la biotechnologie, la pharmacologie, la métallurgie, les alliages, les céramiques, les polysières,… sont les principaux terrains d'activités des ingénieurs en chimie et science des matériaux. Leur travail est à la base de nombreuses "mutations" dans nos sociétés. Parce qu'ils dominent les propriétés de la matière, ils parviennent à mettre au point de nouveaux produits, en transforment ou en combinent d'autres. Ils créent des matériaux plus performants. Ils améliorent ce que la nature nous a donné.

La gestion du développement durable, le recyclage des déchets, la réduction de la pollution, la protection et l'exploitation écologique des ressources naturelles, l'optimalisation de la sécurité dans la production… conditionnent l'avenir de l'humanité. Les ingénieurs en chimie et science des matérieux ont du pain sur la planche! Concepteur et utilisateur de procédés, il est un personnage clé dans le monde industriel. Il doit rendre possible l'élaboration de produits de base, traditionnels ou issus des technologies de pointe, tout en maîtrisant les transformations physiques et chimiques des matières.

Le cursus qu'il suit intègre donc le génie des procédés (étude, conception et dimensionnement d'équipements industriels ; conduite d'unités de fabrication) mais également des cours relatifs à la physico-chimie des matières.

En outre, confronté aux problèmes complexes et multidisciplinaires de l'industrie, l'ingénieur en chimie et science des matériaux doit faire preuve de connaissances étendues dans les divers autres domaines des sciences appliquées comme la mécanique, l'électricité, la thermique et la science des matériaux. C'est pourquoi une large part de sa formation est consacrée à ces techniques non-chimiques.

Mais la tâche de cet ingénieur ne s'arrête pas là car on exige de lui de produire propre et bon marché, avec un maximum de sécurité tout en assurant une qualité irréprochable. Aussi des cours de qualité, de sécurité industrielle, d'évaluation et de conduite de projet sont dispensés tout au long de sa formation.

Ces diverses compétences seront indispensables à la réussite de la mission particulièrement délicate du futur ingénieur en chimie et science des matériaux puisqu'il sera amené à intervenir à tous les maillons de l'élaboration d'un produit depuis sa conception jusqu'à sa commercialisation.

Enfin, confronté à la croissance économique soutenue que connaît le monde industrialisé occidental, l'ingénieur chimiste soucieux ,comme tout citoyen, de la qualité de son cadre de vie devra pouvoir répondre à des impératifs nouveaux que sont l'économie des ressources (énergie et matières premières), le recyclage et la gestion des déchets.

L'ingénieur électricien fait tourner le monde!

Ou presque.

Produire, transporter et distribuer l'énergie électrique, s'en servir comme force motrice, faire avancer les trains, fonctionner les usines, la télévision ou une machine à laver sont quelques-unes de ces applications quotidiennes qui nous semblent tout à fait naturelles, mais qui n'existeraient pas sans le savoir de l'ingénieur électricien.

Ailleurs, il commande aux satellites, il automatise des chaînes de production, il surveille en continu et entretient périodiquement les lignes haute tension.

Il installe des réseaux de télécommunications. Il imagine des systèmes de codage de l'information...

Ses fonctions impliquent des savoir-faire variés : le sens de la stratégie, des implications commerciales, des connaissances techniques, ...

L’ingénieur en électromécanique est le spécialiste des systèmes mécaniques constitués d’éléments électriques. En couplant habilement ses compétences en physique électrique et mécanique, l’ingénieur en électromécanique est amené à évoluer au sein de nombreux domaines d’activités stimulant et enrichissant :

• Concevoir et mettre à l’essai des systèmes électroniques dédiés à différents secteurs de la société (énergie, aviation, communication, informatique et télécommunications, médical, automation, etc.).

• Estimer les coûts de fabrication, de mise en place, d’entretien et de maintenance de systèmes électromécaniques.

• Développer du prototype au produit final un système électromécanique dédié à un secteur particulier de la société.

• Bien d’autres challenges attendent l’ingénieur en électromécanique.

Ce titre est l'un des derniers à avoir été créé.

Il est censé répondre aux multiples besoins de la société de l'information en plein développement.

La formation de l'ingénieur civil informaticien doit permettre d'aborder presque (si c'est possible!) tous les aspects des technologies de l'information et de la communication Il doit ainsi avoir de solides bases en : informatique fondamentale, informatique de gestion, informatique graphique, informatique de réseaux, optimisation, gestion des entreprises, télécommunications, réseaux.

Cela implique de connaître :

• les méthodes permettant de modéliser les entreprises
• la finalité de tous les processus et de leur mode d'intégration

Dans un domaine évoluant aussi rapidement, la formation initiale permet de démarrer dans le métier avec un solide bagage. Toutefois, le jeune ingénieur civil informaticien sera en formation permanente durant toute sa vie professionnelle: ce qu'il maîtrise aujourd'hui sera dépassé demain et inutilisé après-demain !

A l'heure où l'informatique fait tourner le monde, l'intérêt d'engager un spécialiste de l'informatique, des mathématiques et de la gestion qui est en plus ingénieur civil, s'impose d'elle-même.

S'il ne fonde pas sa propre société, ce diplômé fera son chemin dans les grandes entreprises mais également dans les PME. Il s'investira dans les services informatiques évidemment, mais sera aussi à l'aise dans le département gestion économique, l'organisation et la planification, ou la recherche et développement.

Son champ d'action est très diversifié: il peut implémenter des systèmes informatiques, agir sur les modes d'organisation de gestion financière, de production, de planification des investissements de l'entreprise. Il est acteur de la stratégie commerciale et industrielle de l'entreprise.

De même le retrouve-t-on dans le secteur bancaire où il fait de l'excellent travail en actuariat. Peu de portes lui sont finalement fermées dans la mesure où la modélisation mathématique et l'analyse des données conditionnent la viabilité de la plupart des entreprises aujourd'hui.

L'ingénieur civil en mathématiques appliquées est un véritable agent du progrès.

Il va concevoir de nouveaux modèles mathématiques pour l'ingénierie des systèmes complexes industriels ou organisationnels, de même que pour ceux rencontrés dans le monde de la physique... Son travail passe par la conception, l'analyse, la mise en œuvre de ces modèles mathématiques et par l'élaboration de stratégies destinées à les optimaliser.

Ce type d'ingénieur évolue dans la robotique, l'aéronautique, dans les domaines de la biologie (modélisation), de la médecine, de l'environnement (prévision des variables), de l'économie, de la gestion. Il opère sur les procédés industriels (contrôle en temps réel), la planification de la production, le contrôle de la qualité, l'analyse de la fiabilité, la cryptographie, la simulation des marchés en concurrence imparfaite, la gestion optimale des réseaux de transport...

On le voit, l'éventail de ses activités est vraiment très large.

L'ingénieur mécanicien est un rouage incontournable de bien des réalisations !

Il conçoit et fabrique des véhicules, des moteurs, des systèmes mécaniques,… Il participe à la recherche et au développement de nouveaux produits, de nouveaux procédés. Il est un moteur de la conception, de l'organisation et de la production. Il s'implique dans le contrôle, l'entretien et la maintenance des systèmes.

C'est un généraliste actif dans des secteurs aussi contrastés que l'aéronautique, la conquête spatiale, l'automobile, la métallurgie, la chimie, la pétrochimie,...

N'allez pas imaginer qu'avec la fermeture des charbonnages l'ingénieur des mines a été mis au rancard! La réhabilitation des sites d'extraction est en soi un créneau porteur et il en est d'autres heureusement !

La mission de l'ingénieur des mines et géologue est multiple.

Elle peut concerner l'environnement lorsqu'il est chargé de la gestion des risques naturels (protection des nappes phréatiques, étude d'impact, étude du risque géologique…).

La prospection, l'exploitation et la valorisation des énergies souterraines (gaz, pétrole…), des gisements des matières premières,… forment un autre volet de son activité.

Ses connaissances sont aussi appréciées dès que l'homme descend sous terre ! L'ingénieur des mines et géologue est impliqué dans le creusement des tunnels ou de forage en profondeur, dans le stockage souterrain, mais également dans l'érection des barrages ou la construction d'autoroutes…. Parce que ne l'oublions pas, l'ingénieur des mines et géologue est très certainement un formidable généraliste!

L’ingénieur en physique (ou ingénieur physicien) est le spécialiste de la compréhension des phénomènes physique exploités dans les technologies de pointe. Grâce à ses connaissances transversales en physique, mathématiques et ingénierie au sens général, l’ingénieur en physique est amené à évoluer au sein de nombreux domaines d’activités stimulant et enrichissant :

• Maîtriser, améliorer et innover au sein de processus techniques de pointe.

• Étudier la physique atomique, moléculaire, nucléaire, acoustique et optique.

• Exploiter les propriétés de la physique quantique.

• Simuler grâce à l’informatique et les mathématiques des phénomènes physiques complexes dans le but de les exploiter dans une application concrète.

• Bien d’autres challenges attendent L’ingénieur en physique.Contenu en cours de rédaction.

L'ingénieur polytechnicien est d'abord un officier des Forces armées. Ce qui n'est pas synonyme de "fascho"! Depuis que les militants ont pris le pas sur les militaires l'armée, qui en avait assez d'en prendre pour son grade, a bien recentré ses activités.

De nouvelles opportunités s'offrent désormais aux jeunes promus. En outre, quelques diplômés retournent à la vie civile après avoir accompli le nombre d'années qu'ils doivent obligatoirement prester à l'armée, une fois leurs études achevées. Et les entreprises se disputent ces ingénieurs doués de leadership !

Mais être ingénieur et officier, cela recouvre des réalités aussi différentes que captivantes.

Le master bioingénieur : sciences et technologies de l’environnement vous offre les connaissances et les compétences pour devenir

• un professionnel capable d’analyser et de diagnostiquer des problèmes environnementaux : gestion et valorisation des ressources (sols, eaux, végétation) et des écosystèmes, aménagement du territoire ;

• un scientifique capable d’appréhender des processus complexes à diverses échelles, formé aux approches multidisciplinaires et au dialogue avec d’autres spécialistes ;

• un innovateur appelé à concevoir de nouveaux modes de gestion des ressources respectueux de l'environnement.

Ce Master s’inscrit dans la nécessité urgente de comprendre et réduire l’impact des activités humaines sur l’environnement à des échelles locales et globales. Il aborde les éléments clés du fonctionnement des écosystèmes, avec l’eau et les hydrosystèmes comme thèmes privilégiés. Structure et fonctionnement des écosystèmes aquatiques, étude du système terre, hydrogéologie, dynamique des bassins de drainage, écotoxicologie, microbiologie appliquée sont autant de thèmes abordés pour mieux comprendre le fonctionnement des écosystèmes naturels et semi-naturels en réponse aux changements globaux. Les technologies de l’environnement visent à utiliser les sciences de l’ingénieur pour améliorer la qualité de l’environnement (modélisation du transport des contaminants, optimisation du traitement de l’eau, analyse des impacts environnementaux des procédés industriels, ...). Ces aspects sont abordés, entre-autres, par des cours de technologies environnementales, de génie des réacteurs ou de modélisation des procédés.

Le master Bioingénieur en sciences agronomiques développe

• la capacité d’analyser et de diagnostiquer des problèmes agronomiques en combinant connaissances théoriques et techniques du bioingénieur;

• la capacité de comprendre des processus complexes à diverses échelles et de nature pluridisciplinaire ;

• la capacité de gérer des projets intégrés en dialogue avec d’autres spécialistes ;

• le sens de l’innovation et l’esprit entrepreneurial pour développer des procédés originaux (lutte intégrée en protection des cultures, agriculture de précision, transformation de produits de consommation, etc.).

Le bioingénieur Sciences agronomiques est donc une personne ayant reçu une formation scientifique et technique en biologie le rendant apte à la compréhension, la conception, la réalisation technique et la conduite de projets agronomiques, ainsi qu'à des fonctions commerciales et des conseils en relation avec des produits et des services dans le domaine des sciences agronomiques.

Contenu en cours de rédaction.

Le bioingénieur Chimie et bio-industries est un professionnel polyvalent actif dans le secteur de la chimie et de la biotechnologie, du pharmaceutique ainsi que dans le secteur des sciences et de la technologie des aliments.  

 

Ces diplômés disposent des  connaissances et compétences pour s'investir dans le domaine de la chimie verte et maîtriser les concepts et les outils des biotechnologies appliquées aux domaines de l'alimentation, de la santé, de la protection de l’environnement et des biomatériaux. Le master bioingénieur Chimie et bio-industries aborde les domaines essentiels de la transformation et de la valorisation industrielle de la matière vivante végétale, animale et microbienne.

Ce master vous permettra de devenir un professionnel capable d’assumer un projet dans toutes ses dimensions (technique, économique, humaine et sociale), dans des environnements professionnels multiples.

Au terme du master, vous
- serez préparé au travail et à la coordination d’équipes pluridisciplinaires ;
- serez en mesure d’élaborer des solutions pertinentes, originales et innovantes aux problématiques que vous rencontrerez dans votre pratique professionnelle, et ce grâce aux compétences développées lors de votre master dans le domaine de la recherche scientifique appliquée et grâce à la maîtrise de techniques variées et nouvelles.

Le bioingénieur en Gestion des forêts et des espaces naturels dispose des compétences nécessaires (analyse, modélisation et méthodes de gestion) pour contribuer à une gestion durable et multifonctionnelle des écosystèmes forestiers et des espaces naturels, que ce soit en milieu tempéré ou tropical.

Le bioingénieur Gestion des forêts et des espaces naturels est formé pour répondre aux grands enjeux planétaires comme la déforestation, l'érosion de la biodiversité, les changements climatiques, etc...